C’est déjà le 100e épisode ! Pour marquer ce cap symbolique, pourquoi ne pas réaliser une interview qui sorte un peu du format habituel ? On a eu envie d’inviter Astrid, une Frenchie immigrée au Canada depuis plusieurs années. Pour aller au-delà des idées préconçues, on aborde ensemble tous les sujets : travail, qualité de vie, barrière de la langue, différences culturelles… On évoque aussi l’ascenseur émotionnel qui va avec toutes les découvertes, bonnes ou mauvaises, et une vie à des milliers de kilomètres de son pays natal. S’expatrier au Canada : est-ce aussi simple que cela en a l’air ?
Ecouter iciQui est l’invitée de l’épisode 100 du podcast FRENCHIES autour du monde ?
Astrid vit au Canada, plus précisément à Toronto depuis 2014. Avant cela, elle n’était jamais partie de son Ardèche natale. À 26 ans, qu’est-ce qui l’a motivée à s’envoler aussi loin ? L’envie d’apprendre l’anglais, de sortir de sa zone de confort et de découvrir la culture nord-américaine, celle des séries avec lesquelles elle a grandi. Elle est maintenant blogueuse : elle partage son quotidien, ses bons plans et énormément d’informations sur la vie à Toronto. Rendez-vous sur son blog et sa chaîne YouTube.
S’expatrier au Canada : quel bilan après plusieurs mois ?
Astrid vit à Toronto depuis 8 ans et Adèle a posé ses valises au Québec depuis 18 mois. Ensemble, elles abordent un à un les sujets auxquels tout expatrié peut se retrouver confronté :
- parler assez bien la langue pour pouvoir discuter avec les locaux ;
- se faire de nouveaux amis ;
- la nourriture ;
- la différence de la relation au travail.
Impossible de parler d’une arrivée au Canada sans parler de la météo, de l’hiver et de la neige ! Habiter dans un pays froid nécessite d’apprendre à vivre d’une autre manière.
Galère ou féérie ? Vous saurez tout. Elles abordent aussi sans langue de bois les déconvenues rencontrées lors des premiers mois. Tristesse, sentiment de solitude, doutes : certains moments peuvent sembler plus difficiles lorsqu’on est loin de ses proches.
S’expatrier est synonyme de passer de l’autre côté de la barrière : on devient les « étrangers » de quelqu’un. Quelle importance alors de se créer une communauté ? Quelles nationalités : plutôt français ou natifs ? Elles évoquent enfin le décalage qu’elles ont pu ressentir en arrivant par rapport aux vitrines que l’on peut parfois voir sur les comptes Instagram d’expatriés. Une fois gratté le vernis des réseaux, le quotidien est-il aussi rose et extraordinaire ?
Foncez écouter ce bel échange avec la pétillante Astrid et sa bonne humeur communicative !
Cliquez ICI pour écouter son témoignage !
Épisode 100 – Les temps forts capturés par le micro de FRENCHIES autour du monde
« J’avais besoin de voir si je pouvais me débrouiller toute seule et comment j’allais réagir dans un endroit où je ne connaissais personne. »
« Je n’avais pas du tout anticipé le froid. Le premier hiver, il a fait moins 40. »
« La première fois qu’il a neigé, j’étais comme une gamine à la fenêtre. »
« Tout le monde dit que c’est difficile de rencontrer des locaux. Il ne faut pas se mettre de barrière et continuer, car ces relations sont extrêmement enrichissantes. »
« Préparez bien votre arrivée, c’est une magnifique expérience. »
Vous voulez savoir comment Adèle a préparé son départ et comment se sont passées les premières semaines sur le sol québécois ? Écoutez les épisodes du Plog et cela vous aidera peut-être à sauter le pas !
Faites connaissance avec les autres membres de l’équipe avant de continuer vote voyage sur le territoire américain en compagnie de Géraldine, présente au World Trade Center le 11 septembre 2001. Un témoignage riche en émotions !
Un voyage au Canada prévu prochainement ? Décollez sereinement en souscrivant à l’AVA Tourist Card, une assurance multirisque idéale pour les courts séjours. Profitez de 5 % de réduction grâce au code FRENCHIES.
Article rédigé par Isabelle Jullien, team FADM
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